Catégorie : Fiches grammaire

La proposition subordonnée relative • Exemples et explication facile | Français-Rapide

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👉 La proposition subordonnée relative

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La proposition subordonnĂ©e relative, c’est quoi ?

â–  Toujours introduite par un pronom relatif simple (qui, que, quoi, dont, oĂą) ou composĂ© (lequel, auquel, duquel, desquels, Ă  laquelle…), elle complète un nom ou un pronom, appelĂ©s antĂ©cĂ©dents.

â–  Sa fonction est complĂ©ment de l’antĂ©cĂ©dent.

â–  Le pronom relatif a sa fonction propre dans la proposition relative : sujet, COD, complĂ©ment du nom, complĂ©ment circonstanciel…

  • Le château [dont tu parles] date du XVe siècle. dont = COI du verbe parler

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Les homophones grammaticaux • Leçon facile | Français-Rapide

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👉 Les homophones grammaticaux

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Liste des homonymes grammaticaux

a / Ă  / as
c’ / s’
c’est / s’est / sais / sait
ça / sa
ce / se
ces / ses
dans / d’en / dent
é / er 
est / es / et / ai
la / l’a / lĂ 
leur / leurs
ma / m’a
mais / mes / mets / mai / met
mon / m’ont 
ni / n’y
on / on n’
on / ont
oĂą / ou
parce que / par ce que
plutĂ´t / plus tĂ´t
quand / quant / qu’en
quel / quels / quelle / quelles / qu’elle / qu’elles
quelque / quelques / quel que / quelle que / quels que / quelles que
quoique / quoi que
sa / ça / çà
sans / s’en
se / ce
si / s’y
son / sont 
sur / sûr
tout / tous / toute / toutes

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La préposition « à » • Explication facile et exemples | Français-Rapide

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👉 La prĂ©position Ă  – Règles

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Quand et comment utiliser la préposition à ?

Ă€ est une prĂ©position. C’est un mot invariable. Il introduit des mots ou des groupes de mots complĂ©ments.

Exemples :

  • Je mange dans la salle Ă  manger.
  • Je vais Ă  la banque.
  • Il pense Ă  elle.

Après la prĂ©position Ă , le verbe est Ă  l’infinitif.

Exemples :

  • Il s’entraine Ă  plonger.
  • Les feuilles commencent Ă  tomber.

A sans accent est le verbe avoir conjuguĂ© Ă  la troisième personne du singulier. Pour voir sil il faut utiliser a au lieu de Ă , on peut le remplacer par « avait » et si la phrase reste correcte, c’est donc bien a sans accent qu’il faut utiliser !

  • Kevin a un nouveau tĂ©lĂ©phone. → Kevin avait un nouveau tĂ©lĂ©phone.

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Les compléments circonstanciels de temps • Leçon facile avec exemples | Français-Rapide

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👉 Les compléments circonstanciels de temps

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C’est quoi un complĂ©ment circonstanciel de temps ?

Les compléments circonstanciels de temps sont des compléments qui ne sont pas essentiels : on peut les supprimer ou les déplacer.

Ils rĂ©pondent Ă  la question « Quand ? » ou « Depuis quand ? » et servent Ă  savoir quand se passe l’action de la phrase.

Exemples :

  • Le chat a chassĂ© une souris ce soir.
  • Il a travaillĂ© toute la journĂ©e.

Ils donnent des prĂ©cisions sur l’action grâce aux indications suivantes : date, durĂ©e, frĂ©quence.

Exemples :

Nom → Il habite à Berlin depuis trois ans.

Adverbe → Bientôt, il fera une nouvelle victime.

Proposition subordonnée conjonctive → Quand la banque se rendra compte, nous serons déjà loin.

Proposition subordonnée participiale → La bise étant venue, la cigale se trouva dépourvue.

Participe ou Gérondif → En mangeant, il dessine.

Infinitif prépositionnel → Avant de manger, il se lave les mains.

 

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Les compléments circonstanciels de manière • Leçon facile avec exemples | Français-Rapide

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👉 Les compléments circonstanciels de manière

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Un complément circonstanciel de manière est un ensemble de mots (ou un seul mot) qui indique la manière dont se déroule l’action.

Il répond à la question : Comment ?, De quelle façon ?, De quelle manière ? …

Exemples :

  • Il a rĂ©pondu aux questions avec une grande ingĂ©niositĂ©.

Comment a t-il répondu aux questions ? De quelle manière ?

Réponse : « avec une grande ingéniosité ».

« avec une grande ingéniosité » est donc un complément circonstanciel de manière.

  • Kevin marche lentement.

Comment marche Kevin ? De quelle façon ? De quelle manière ?

Réponse : « lentement ».

« lentement » est donc un complément circonstanciel de manière.

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Les compléments circonstanciels • Leçon facile avec exemples | Français-Rapide

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👉 Les compléments circonstanciels

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1. Un complĂ©ment circonstanciel, c’est quoi ?

Les complĂ©ments circonstanciels indiquent les circonstances d’une action ou d’un Ă©tat. On peut très souvent les dĂ©placer ou les supprimer dans la phrase.

La fonction complément circonstanciel peut être remplie par un nom, un groupe nominal, un pronom, un adverbe, un infinitif, un gérondif, une proposition subordonnée conjonctive.

Le complĂ©ment circonstanciel est souvent prĂ©cĂ©dĂ© d’une prĂ©position.

2. Les complĂ©ments circonstanciels de lieu, temps, manière, moyen, etc…

ComplĂ©ment circonstanciel de lieu : il rĂ©pond aux questions : oĂą ? d’oĂą ? par oĂą ? vers oĂą ?

  • Il habite dans un joli village.

Complément circonstanciel de temps : il répond aux questions : quand ? depuis quand ?

  • Il a travaillĂ© toute la journĂ©e.

Complément circonstanciel de manière : il répond aux questions : comment ? de quelle manière ?

  • Il parle avec colère.

Complément circonstanciel de moyen : il répond aux questions : au moyen de quoi ? avec quoi ?

  • Il a accrochĂ© ce tableau avec un clou

Complément circonstanciel de but : il répond aux questions : pourquoi ? dans quel but ?

  • Nous travaillons pour gagner notre vie.

Complément circonstanciel de cause : il répond à la question : pour quelle raison ?

  • Il garda le silence par respect.

Complément circonstanciel de condition : il répond à la question : à quelle condition ?

  • Elle rĂ©pondra si on l’appelle.

Complément circonstanciel de concession : il répond à la question : malgré quoi ? 

  • Il sourit malgrĂ© sa douleur.

Complément circonstanciel de comparaison : il répond aux questions : comme quoi ?

  • Elle est belle comme un ange.

Complément circonstanciel de conséquence : il répond aux questions : de sorte que ?

  • Elle cria Ă  en perdre la voix.

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Le pluriel des noms composés • Explication facile | Français-Rapide

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👉 Le pluriel des noms composés

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Un nom composé est formé de deux (ou plus) éléments appelés composants. 

Pour l’Ă©crire au pluriel, il faut savoir quels Ă©lĂ©ments prennent la marque du pluriel et analyser le sens du nom composĂ©.

Analyser la classe grammatical des composants :

Dans les noms composĂ©s Ă©crits avec un trait d’union, seuls les noms et les adjectifs peuvent se mettre au pluriel. Les autres composants (adverbes, prĂ©positions, verbes) sont toujours invariables.

  • des rouges-gorges (rouge = adjectif / gorge = nom)
  • des portes-fenĂŞtres (porte = nom / fenĂŞtre = nom)
  • des arrière-pensĂ©es (arrière = adverbe)
  • des avant-bras (avant = prĂ©position)
  • des marque-pages (marque = verbe)

Dans les noms composés de type nom + préposition + nom, seul le premier nom se met au pluriel :

  • des chefs-d’Ĺ“uvre
  • des arcs-en-ciel

Les éléments demi-, mi-, semi- sont invariables :

  • des demi-heures
  • des semi-remorques

Analyser le sens du mot composé

Il faut gĂ©nĂ©ralement « dĂ©composer » le sens du nom composĂ© pour savoir si l’adjectif ou le nom se met au pluriel.

  • des choux-fleurs (des choux qui ressemblent Ă  des fleurs)
  • des timbres-poste (des timbres pour la poste)

Mais passer par le sens n’est pas toujours possible ou peut donner diffĂ©rents possibilitĂ©s :

  •  des après-rasage(s ?)

(=  des produits utilisés après le rasage ou après les rasages ?)

 Ainsi les rectifications de l’orthographe donne des règles qui peuvent permettre d’Ă©crire certains noms composĂ©s au pluriel sans passer par le sens.

đź“Ś ASTUCE

Pour les noms composés du type préposition + nom ou verbe + nom, je suis les règles suivantes

Je laisse toujours le nom (2ème composant) au singulier lorsque le nom composé et au singulier :

  • un essuie-main
  • un sans-papier

Je mets toujours le nom au pluriel lorsque le nom composé et au pluriel :

  • des essuie-mains
  • des sans-papiers

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Discours direct et indirect: Exemples et explication facile | Français-Rapide

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👉 Discours direct et indirect

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Qu’est-ce que le discours direct et le discours indirect ?

Le discours direct consiste à rapporter mot à mot les propos de quelqu’un.

Le discours indirect consiste Ă  rapporter les propos de quelqu’un en d’autres mots (reformulation). Les propos ainsi rapportĂ©s ne se distinguent pas du reste du texte, contrairement au discours direct dans lequel l’auteur doit employer les tirets et les guillemets. Le discours indirect ne permet pas non plus de connaĂ®tre les mots exacts prononcĂ©s au dĂ©part.

 

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Le discours rapportĂ©, c’est quoi ? Explication facile | Français-Rapide

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👉 Le discours rapportĂ©, c’est quoi ?

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En grammaire, le discours rapportĂ© est un type de discours permettant Ă  un Ă©nonciateur de citer les paroles de quelqu’un d’autre.

Le discours rapporté sert à rapporter des paroles ou des pensées. Sa présence dénote une double énonciation : on a un premier discours dans lequel le locuteur reprend le discours d’un tiers ou son propre discours. Il tient une place important dans les récits.

On distingue le discours direct, discours indirect, le discours indirect libre et le discours narrativisé.

Les formes du discours rapporté

Discours direct

C’est le discours le plus proche des propos tenus. Il possède toutes les caractéristiques de l’énonciation du discours.

  •  « Je visiterais ce temple plus tard », pensa-t-il.

Discours indirect

Il est construit comme une proposition subordonnée d’un verbe exprimé ou non (signifiant dire ou penser).

  • Il pensa qu’il visiterais ce temple plus tard.

Discours indirect libre

Procédé littéraire très prisé des auteurs du XIXe siècle. Il permet de rapporter des paroles et les pensées sans rompre le récit.

  • La principale excuse du coupable Ă©tait qu’il avait oubliĂ© le rendez-vous.

Discours narrativisé

Il ne rapporte pas les paroles mais laisse le soin au lecteur d’imaginer ce que le locuteur a pu dire. Le discours rapporté est condensé et résumé.

  • Il expliqua Ă  sa femme la situation.

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La concordance des temps, c’est quoi ? Explication facile | Français-Rapide

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👉 La concordance des temps, c’est quoi ?

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Lorsque le verbe d’une subordonnĂ©e circonstancielle de condition est au prĂ©sent de l’indicatif, le verbe de la principale est au futur simple de l’indicatif.

Lorsque le verbe d’une subordonnĂ©e circonstancielle de condition est Ă  l’imparfait de l’indicatif, le verbe de la principale est au prĂ©sent du conditionnel.

Il est parfois difficile de choisir le mode (indicatif ou subjonctif) du verbe de la subordonnée complétive ; cela dépend du verbe de la principale, de la forme de ce verbe ou de la conjonction de subordination.

Dans certaines subordonnĂ©e relatives, c’est le sens voulu par celui qui Ă©crit (ou qui parle) qui dĂ©termine l’emploi de l’indicatif ou du subjonctif.

Exemples :

  • Si la route est barrĂ©e (prĂ©sent de l’ind.), nous emprunterons la dĂ©viation. (futur simple)
  • Si la route Ă©tait barrĂ©e (imparfait), nous emprunterions la dĂ©viation. (prĂ©sent du conditionnel)
  • Il pense que les policiers interviendrons. → indicatif
  • Il doute que les policiers interviennent. → subjonctif
  • Je choisirai une tĂ©lĂ©vision qui tient dans mon salon. → indicatif
  • Cette tĂ©lĂ©vision existe et je la prendrai.

Ă€ l’indicatif, les temps composĂ©s de la subordonnĂ©e expriment une action antĂ©rieure (ou simultanĂ©e) Ă  celle du verbe de la principale.

  • Lorsque le bus est arrivĂ©, les voyageurs sont montĂ©s.

đź“Ś Dans une subordonnĂ©e circonstancielle de condition, le verbe n’est jamais au conditionnel.

â–ş Leçons suivantes :Â