Catégorie : Fiches grammaire

La phrase déclarative • Exemples et explication facile | Français-Rapide

👉 La phrase déclarative

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Leçon de français en ligne avec de nombreux exemples et explications simples et faciles à comprendre sur la phrase déclarative.

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La phrase déclarative se termine toujours par un point, ou plus rarement par des points de suspension.

Ce peut être une phrase simple ou complexe, affirmative ou négative.

Le verbe principal est Ă  l’indicatif ou au conditionnel.

La phrase déclarative permet :

de communiquer une information certaine ou incertaine :

  • Il est midi.
  • Les otages auraient Ă©tĂ© libĂ©rĂ©s ce matin.
  • S’il reste, je pars.

de raconter un événement passé, présent ou futur :

  • Ils ne sont pas arrivĂ©s Ă  temps.
  • Je suis dĂ©sormais heureux.
  • Nous irons le chercher Ă  l’aĂ©roport.

d’exprimer une opinion :

  • Je m’interroge sur son sĂ©rieux.
  • Elle ne trouve pas cela rĂ©pugnant.

d’exprimer un souhait :

  • Je vous serais reconnaissant de me rĂ©pondre rapidement.
  • J’aimerais un peu de silence.

► Leçons suivantes : 

La phrase complexe • Exemples et explication facile | Français-Rapide

👉 La phrase complexe

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Leçon de français en ligne avec de nombreux exemples et explications simples et faciles à comprendre sur la phrase complexe.

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La phrase complexe est constituée de plusieurs propositions qui peuvent se combiner de différentes façons.

PAR COORDINATION

Les propositions sont reliées par un mot de liaison, comme une conjonction de coordination ou un adverbe :

  • Je le sermonne et il rit !
  • Il Ă©tait lĂ  tout Ă  l’heure, donc il ne doit pas ĂŞtre bien loin.
  • Ce n’est pas difficile, pourtant il n’arrive pas Ă  le faire.

Les phrases coordonnĂ©es demeurent indĂ©pendantes l’une par rapport Ă  l’autre : chacune peut constituer une phrase simple Ă  elle seule.

PAR SUBORDINATION

Une proposition appelée principale est complétée par une ou plusieurs propositions dites subordonnées. Ces propositions sont généralement (mais pas toujours) introduites par un mot subordonnant qui peut être un pronom relatif, un pronom interrogatif, une conjonction de subordination ou une locution conjonctive :

  • Je cherche une tente (principale) qui soit très lĂ©gère (relative).
  • Voici les livres (principale) dont je t’ai parlĂ© (relative).
  • Il espère (principale) qu’elle acceptera (conjonctive).
  • Je te prĂ©viendrai (principale) dès que j’aurai terminĂ© (conjonctive).
  • J’aimerais savoir (principale) comment il va (interrogative indirecte).
  • As-tu entendu (principale) sonner Ă  la porte (infinitive) ?
  • Le train parti (participiale), nous sommes rentrĂ©s directement chez nous (principale).

Les propositions subordonnées ne sont pas autonomes : les séparer de la proposition principale rendrait le message incompréhensible.

PAR JUXTAPOSITION

Les propositions sont sĂ©parĂ©es par un signe de ponctuation dit faible, c’est-Ă -dire une virgule, un point-virgule ou deux-points :

  • Viens m’aider, j’ai besoin de toi.
  • Je ne me souviens pas d’elle ; je ne pense pas l’avoir rencontrĂ©e.
  • Les bateaux ne sortent pas : la mer est trop mauvaise.

Les phrases juxtaposĂ©es demeurent indĂ©pendantes l’une par rapport Ă  l’autre : chacune peut constituer une phrase simple Ă  elle seule.

Un cas particulier de juxtaposition est l’incise : une phrase est enchâssĂ©e dans une autre, entre deux virgules, deux parenthèses ou deux tirets :

  • Je n’ai, dit Sarah, jamais rien vu de tel.
  • C’est, personne ne s’y trompera, une vaste blague.
  • Il est (du moins le prĂ©tend-il) champion de karatĂ©.
  • Je crois – c’est mon humble avis – qu’il se trompe.

► Leçons suivantes : 

La forme négative • Exemples et explication facile | Français-Rapide

👉 La forme négative

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La phrase négative et une phrase qui exprime une négation. Elle nie une affirmation.

Elle se construit avec une négation en deux parties :

Exemples :

Avec NE… PAS :

  • Je parle japonais. → phrase affirmative
  • Je ne parle pas japonais. → phrase nĂ©gative
  • Il mange une pomme. → phrase affirmative
  • Il ne mange pas une pomme. → phrase nĂ©gative

Avec NE/N’+ ĂŞtre ou avoir + PAS + verbe

  • J’ai mangĂ©. → phrase affirmative
  • Je n’ai pas mangĂ©. → phrase nĂ©gative

Avec CE + N’ + est + PAS …

  • Ce n’est pas bon. → phrase affirmative
  • Ce n’est pas ça. → phrase nĂ©gative

Avec  NE+ verbe 1 + PAS+ verbe 2

  • Je dois aller au travail. → phrase affirmative
  • Je ne dois pas aller au travail. → phrase nĂ©gative

Avec NE/N’+ (me, te, se) + verbe + PAS

  • Je me couche tĂ´t. → phrase affirmative
  • Je ne me couche pas tĂ´t. → phrase nĂ©gative

Avec NE/ N’ + verbe + PAS + le/la/les…

  • Je prends le train. → phrase affirmative
  • Je ne prends pas le train. → phrase nĂ©gative

Avec NE+ verbe + PAS + souvent

  • Je vais souvent au cinĂ©ma. → phrase affirmative
  • Je ne vais pas souvent au cinĂ©ma. → phrase nĂ©gative

 

Les antonymes (les contraires des mots): liste et exemples | Français-Rapide

👉 Les antonymes (les contraires des mots)

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Leçon de français en ligne avec de nombreux exemples et explications simples et faciles à comprendre sur les antonymes.

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Pour rappel, un antonyme est un mot dont le sens est contraire Ă  celui d’un autre.

Exemples :

  • chaud / froid
  • petit / grand
  • un dĂ©faut / une qualitĂ©

Voici une liste d’antonymes utiles Ă  connaitre :

MOTS CONTRAIRES
à l’intérieur à l’extérieur
ami ennemi
ancien nouveau
animal humain
avant après
beaucoup peu
blanc noir
bon mauvais
bruyant calme
cher, coûteux bon marché, pas cher
commencer finir
compliqué simple
coupable innocent
dehors dedans
doux dur
droite gauche
en haut en bas
Ă©pais fin
Ă©troit large
exactement approximativement / probablement
facile difficile
fort faible
froid chaud
hier demain
ici lĂ -bas
intéressant ennuyeux
jeune vieux
l’entrée la sortie
la faim la soif
la paix la guerre
la sœur le frère
le plafond le sol
le soir le matin
le soleil la lune
lent rapide
long court
lourd léger
lumineux sombre
maintenant plus tard
marié célibataire
minuscule gigantesque
normal Ă©trange
oui non
ouvert fermé
pareil différent
petit grand
premier dernier
proche, près loin
professeur Ă©tudiant
profond peu profond
riche pauvre
rugueux lisse
sale propre
sec mouillé, humide
souvent rarement
sucre sel
sûr dangereux
tĂ´t tard
toujours jamais
tout rien
triste joyeux
une femme un homme
une question une réponse
une ville un village
utile inutile
vertical horizontal
vide plein
vrai faux
VERBES CONTRAIRES
allumer Ă©teindre
arrĂŞter continuer
arriver partir
attacher détacher
augmenter diminuer
avancer reculer
casser réparer
chercher trouver
construire détruire
décoller atterrir
économiser dépenser
entrer sortir
envoyer recevoir
gagner perdre
marcher courir
mettre enlever
monter descendre
montrer cacher
oublier se rappeler
prendre donner
prĂŞter emprunter
ralentir accélérer
rire pleurer
se réveiller s’endormir
tenir lâcher
tirer pousser
vendre acheter

 


► Leçons suivantes : 

Les figures de style: liste, exemples, explications | Français-Rapide

👉 Les figures de style (oxymore, euphémisme, hyperbole, litote)

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Les figures de style sont des procĂ©dĂ©s d’Ă©criture permettant d’exprimer un propos, une idĂ©e, en lui donnant une force particulière. C’est une façon personnelle de s’exprimer qui dĂ©pend en grande partie de l’imagination de chacun.

1. Les figures de style par analogie

Elles établissent un rapport de ressemblance entre deux éléments, le comparé et le comparant.

Ces figures de style appartiennent toutes à la catégorie des images.

La comparaison :

Elle Ă©tablit de manière explicite un rapport de ressemblance entre deux Ă©lĂ©ments, avec un outil grammatical : comme, semblable Ă , tel, ressembler Ă …

  • Il est rapide comme l’Ă©clair.

La métaphore :

Elle établit de manière implicite un rapport de ressemblance entre deux éléments. Elle est filée quand elle se poursuit sur plusieurs phrases.

  • Tes yeux sont des Ă©toiles scintillantes.

La personnification :

Elle attribue à un objet, un animal, une idée des caractéristiques humaines.

  • Le vent caressa ses cheveux.

L’allĂ©gorie :

Elle reprĂ©sente de façon concrète une idĂ©e abstraite, en utilisant un champ lexical entier ou d’autres figures de style comme la mĂ©taphore :

  • La faucheuse a emportĂ© tous les vieux du village.

2. Les figures d’opposition

Ce sont des figures par opposition :

L’antithèse :

Elle oppose deux éléments de même classe.

  • Le Paradis des uns c’est l’enfer des autres.

L’oxymore :

Un oxymore rapproche dans le mĂŞme groupe nominal deux termes contradictoires.

  • Un silence assourdissant

3. Les figures de placement

le chiasme :

Un chiasme reprend deux termes utilisés dans la première partie de la phrase ou du vers en inversant leur ordre dans la deuxième.

  • Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger.

l’hypallage :

Il accorde un adjectif Ă  un nom, alors que, pour le sens, il concerne un autre mot de la phrase.

  • Les habitants de l’orgueilleuse Rome (= les habitants orgueilleux de Rome)

4. Les figures d’amplification

L’hyperbole :

Elle exprime avec exagération une réalité.

  • Je meurs de faim.

L’anaphore :

Une anaphore est la rĂ©pĂ©tition d’un terme ou d’un groupe de mots en dĂ©but de phrase ou de vers.

  • Mon bras qu’avec respect toute l’Espagne admire, / Mon bras qui tant de fois a sauvĂ© cet empire

L’Ă©piphore :

C’est la rĂ©pĂ©tition d’un mot ou d’un groupe de mots en fin de groupe, de phrase ou de vers.

  • Et toujours ce parfum de foin coupĂ© qui venait de BĂ©rĂ©nice, qui rĂ©sumait BĂ©rĂ©nice, qui le pĂ©nĂ©trait de BĂ©rĂ©nice.

La gradation :

5. Les figures de substitution

La métonymie :

On remplace un mot par un autre qui a un rapport logique.

  • Ils vivent sous le mĂŞme toit. (= dans la mĂŞme maison)

La périphrase :

On remplace un mot par sa dĂ©finition ou une explication parce qu’oin ne peut ou ne veut pas employer le mot juste.

  • Le petit coin (= les toilettes)

L’euphĂ©misme :

Il consiste Ă  attĂ©nuer l’expression d’une information en remplaçant un mot par un autre de mĂŞme classe grammaticale.

  • les seniors (= les personnes âgĂ©es)
  • les non-voyants (= les aveugles)

6. Les figures de l’ironie: 

L’antiphrase :

Elle dit le contraire de ce qui est énoncé.

  • Bravo ! C’est du joli ! = Je ne vous fĂ©licite pas de ce rĂ©sultat.

La litote :

Elle attenue l’expression d’une information pour accentuer son effet. Le verbe est souvent Ă  la forme nĂ©gative.

  • Ce vin n’est pas mauvais. (= excellent)

La prétérition :

Elle annonce qu’on ne dira pas quelque chose qu’on dit finalement.

  • Je ne veux accuser personne, mais Thomas a oubliĂ© d’acheter du pain.

► Leçons suivantes : 

L’apposition, c’est quoi ? Exemples et explication facile | Français-Rapide

👉 L’apposition, c’est quoi ?

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L’apposition est une construction dĂ©tachĂ©e qui le plus souvent, s’entend quand on parle et qui, Ă  l’Ă©crit, est marquĂ©e par une ou deux virgules.

Il s’agit d’ajouter une information concernant un Ă©lĂ©ment de la phrase en la posant en parallèle de cet Ă©lĂ©ment.

đź“Ś L’apposition peut ĂŞtre supprimĂ©e.

  • Usain Bolt, un coureur rapide, a gagnĂ© la course. (Usain Bolt a gagnĂ© la course.)
  • Kevin, mon frère, est un gros gourmand. (Kevin est un gros gourmand.)

đź“Ś L’apposition est une subordonnĂ©e relative

  • Sarah, qui Ă©tait contente, ouvrait ses cadeaux.

đź“Ś L’apposition est un adjectif ou un participe passĂ©

  • Contente, Sarah ouvrait ses cadeaux.

đź“Ś L’apposition est un groupe nominal ou un groupe infinitif

Quand elle est un nom ou un groupe nominal, L’apposition est le plus souvent placer entre virgules :

  • Kevin, notre dĂ©lĂ©guĂ©, Ă  distribuĂ© des questionnaires.

đź“Ś Cas particuliers: L’apposition peut aussi ĂŞtre juxtaposĂ©es ou bien introduite par la prĂ©position de :

  • Le Roi Soleil
  • la ville lumière
  • un projet phare
  • la ville de Paris
  • la rĂ©gion de Bretagne

► Leçons suivantes : 

La polysémie • Exemples et explication facile | Français-Rapide

👉 La polysémie

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C’est quoi la polysĂ©mie ?

La polysĂ©mie signifie qu’un mot ou une expression a plusieurs sens ou significations diffĂ©rentes (on dit que c’est un mot polysĂ©mique).

⚠️ Il ne faut pas confondre polysĂ©mie et homonymie. Deux mots homonymes ont la mĂŞme forme (phonique ou graphique) mais sont des mots totalement diffĂ©rents, c’est-Ă -dire qu’ils n’ont pas la mĂŞme Ă©tymologie: par exemple, « le maire » et « la mère », « un cygne » et « un signe »…

Quelques exemples de polysémie :

  • Une souris : la souris d’ordinateur, l’animal, la viande d’agneau, jeune fille (usage dĂ©suet)
  • Une chemise : le vĂŞtement, ou bien une pochette cartonnĂ©e
  • L’opĂ©ra : la pâtisserie, le lieu, l’art
  • Le théâtre : l’art, le lieu, la production littĂ©raire
  • Un bouton : un bouton de chemise, ou bien un bouton sur lequel appuyer, ou encore un bouton sur le visage
  • Rouge : la couleur, le vin, la colère, le communisme, le sang
  • Vivre : exister, subsister, habiter, expĂ©rimenter, traverser
  • Un indien : habitant de l’Inde, autochtone des AmĂ©riques
  • Une glace : de la crème glacĂ©e, ou bien un miroir
  • Un amĂ©ricain : qui vient de l’AmĂ©rique, qui vient des États-Unis
  • La clartĂ© : lumière, transparence, intelligibilitĂ©, blancheur
  • Une feuille : une feuille d’arbre, ou bien une feuille pour Ă©crire
  • La folie : anomalie de la conscience, Ă©lĂ©ment architectural inattendu
  • CrĂ©er : produire, engendrer, fonder, imaginer… et nommer (les cardinaux sont crĂ©Ă©s par le pape)
  • Inventer : rĂ©aliser, imaginer… et dĂ©couvrir (Joseph Berger est l’inventeur du gouffre Ă©ponyme)
  • Imprimer : faire ou laisser une empreinte (Ă  plat ou en creux) sur quelque chose… et fabriquer additivement (avec une imprimante 3D).

Il arrive mĂŞme qu’un mot dĂ©signe Ă  la fois une chose et son contraire (on parle alors d’Ă©nantiosĂ©mie ou de mot Ă©nantiosĂ©mique) :

  • Apprendre signifie selon les cas enseigner, ou acquĂ©rir une connaissance ;
  • Un hĂ´te, dĂ©signe selon le contexte celui qui reçoit ou celui qui est reçu ;
  • Regret, dĂ©signe la plainte ou la nostalgie. ex « Je regrette mon enfance ».
  • Louer : donner ou, au contraire, prendre en location ;
  • Plus : il y en a plus (il y en a davantage) ou il n’y en a plus (il n’en reste pas).
  • Doute : dĂ©signe selon le contexte, le doute ou la certitude. Ex « douter de quelque chose » ou « se douter de quelque chose ».
  • Personne : dĂ©signe selon le contexte grammatical un individu (une personne) ou l’absence d’individu (il n’y a personne).

Liste des mots polysémiques

accolade linéaire
addition médiane
aigu membre
aire mesure
analyse milieu
angle multiple
application multiplication
arc nature
arĂŞte naturel
arrondi négatif
axe nœud
bande nul
base obtus
calcul opération
capacité opposé
carré ordre
centre origine
cercle pair
chiffre parallèle
circulaire patron
classement pavé
commun pente
comparaison perspective
complémentaire pied
conclusion plan
concours plat
conservation point
conversion pondéré
coordonnée positif
corde preuve
correspondant problème
côté produit
couple projection
couronne proportionnel
croissant puissance
décroissant quotient
déduction racine
défaut radical
degré rangement
démonstration rapport
développement rapporteur
diagonale rationnel
différence rayon
directeur réciproque
direction réduction
disque réel
distinct régulier
dividende relatif
division relation
double remarquable
droite repère
échelle représentant
égal résolution
égalité reste
élément retenue
encadrement révolution
ensemble rotation
entier secteur
Ă©valuation section
exact segment
excès semblable
exposant sens
expression signe
face simplification
facteur sinus
figure solide
fonction solution
formule somme
fraction sommet
fréquence soustraction
grade sphère
grandeur strict
hauteur suite
hypothèse supérieur
identité supplémentaire
image système
impair table
inconnue tangent
indice terme
inégalité transformation
inférieur trapèze
inscrit tronc
intersection unité
inverse valeur
irréductible vecteur
large volume

► Leçons suivantes : 

Sens propre et sens figuré • Exemples et explication facile | Français-Rapide

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Le sens propre d’un mot est son sens premier, c’est Ă  dire son sens le plus courant.

Les sens figurĂ©s d’un mot sont les sens qui en dĂ©rivent.

En général, le sens propre renvoie au sens concret. Ainsi le mot « cochon » évoque un animal. Les sens figurés sont souvent des sens abstraits ou imagés. Le mot « cochon » peut ainsi renvoyer à une personne qui se comporte de manière peu soigneuse.

Autre exemple, « tomber » et « tomber sur quelqu’un » pour dire qu’on l’a rencontrĂ©. Ou encore, une salade (que l’on mange) et « raconter des salades ».


► Leçons suivantes : 

La proposition subordonnée relative • Exemples et explication facile | Français-Rapide

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La proposition subordonnĂ©e relative, c’est quoi ?

â–  Toujours introduite par un pronom relatif simple (qui, que, quoi, dont, oĂą) ou composĂ© (lequel, auquel, duquel, desquels, Ă  laquelle…), elle complète un nom ou un pronom, appelĂ©s antĂ©cĂ©dents.

â–  Sa fonction est complĂ©ment de l’antĂ©cĂ©dent.

â–  Le pronom relatif a sa fonction propre dans la proposition relative : sujet, COD, complĂ©ment du nom, complĂ©ment circonstanciel…

  • Le château [dont tu parles] date du XVe siècle. dont = COI du verbe parler

► Leçons suivantes : 

Les homophones grammaticaux • Leçon facile | Français-Rapide

👉 Les homophones grammaticaux

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Liste des homonymes grammaticaux

a / Ă  / as
c’ / s’
c’est / s’est / sais / sait
ça / sa
ce / se
ces / ses
dans / d’en / dent
é / er 
est / es / et / ai
la / l’a / lĂ 
leur / leurs
ma / m’a
mais / mes / mets / mai / met
mon / m’ont 
ni / n’y
on / on n’
on / ont
oĂą / ou
parce que / par ce que
plutĂ´t / plus tĂ´t
quand / quant / qu’en
quel / quels / quelle / quelles / qu’elle / qu’elles
quelque / quelques / quel que / quelle que / quels que / quelles que
quoique / quoi que
sa / ça / çà
sans / s’en
se / ce
si / s’y
son / sont 
sur / sûr
tout / tous / toute / toutes


â–ş Leçons suivantes :Â