Catégorie : Fiches grammaire

Les terminaisons du passé simple | Français-Rapide

👉 Les terminaisons du passé simple

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Leçon de français en ligne avec de nombreux exemples et explications simples et faciles à comprendre sur les terminaisons du passé simple.

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Formation du passé simple

Le passĂ© simple s’utilise Ă  l’Ă©crit pour marquer une action brève et ponctuelle.

Il y a quatre types de terminaisons au passé simple en fonction de la terminaison du verbe :

1er groupe + aller : -ai, -as, -a, -âmes, -âtes, -èrent

2e et certains verbes du 3e groupe : -is, -is, -it, -îmes, -îtes, -irent

Certains verbes du 3e groupe : -us, -us, -ut, -ûmes, -ûtes, -urent

Venir et Tenir + dérivés : -ins, -ins, -int, -înmes, -întes, -inrent

personne 1er groupe et aller 2ème et 3ème groupe
verbes en -ir,
plupart des verbes en -re
voir et asseoir
plupart des verbes en -oir, -oire, -âitre, -oudre
lire, plaire, taire, vivre, conclure
Je -ai -is -us
Tu -as -is -us
Ils -a -it -ut
Nous -âmes -îmes -ûmes
Vous -âtes -îtes -ûtes
Ils -èrent -irent -urent

Exemples :

aimer finir vouloir
j’aimai je finis je voulus
tu aimas tu finis tu voulus
il aima il finit il voulut
nous aimâmes nous finîmes nous voulûmes
vous aimâtes vous finîtes vous voulûtes
ils aimèrent ils finirent ils voulurent

đź“Ś Cas particuliers pour le 1er groupe :

Les verbes en -cer s’Ă©crivent avec un « ç » devant « a ». → Je lançai, il lança (mais ils lancèrent).

Les verbes en -ger prennent un « e » devant « a ». → Je mangeai, il mangea (mois : ils mangèrent).

đź“Ś Cas particuliers pour le 3e groupe :

Tenir et venir (et leurs dĂ©rivĂ©s: retenir, revenir…) se terminent par : -ins, -ins, -int, -Ă®nmes, -inrent. → Je tins. il tint.

đź“Ś Il n’y a pas de règle pour savoir si un verbe a une terminaison avec i ou u, il faut apprendre la liste par cĹ“ur.

Quoique ou Quoi que ? Explication et exemples | Français-Rapide

👉 Quoique ou Quoi que ? 

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Ne confondez quoique (=bien que) avec quoi que / quoi qu’ (= quelle que soit la chose que) !

Exemples :

  • Quoi que dĂ©cide Kevin, il restera toujours mon ami.
  • Quoi qu‘il arrive, nous devons rester groupĂ©s.
  • Les choses progressent, quoique lentement.
  • Quoique très musclĂ©, ton frère n’est pas très fort.

Quoi que est aussi prĂ©sent dans la locution adverbiale « Quoi qu’il en soit » et qui signifie « peu importe » (de quoi il retourne) :

  • Quoi qu‘il en soit, je ne lui fait pas confiance.

Quoi que est aussi prĂ©sent dans la locution adverbiale « Quoi que ce soit » et qui signifie « n’importe quoi » ou « rien » :

  • Si tu as besoin de quoi que ce soit, appelles-moi.

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La forme pronominale, c’est quoi ? • Exemples et explications | Français-Rapide

👉 La forme pronominale, c’est quoi ?

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Leçon de français en ligne avec de nombreux exemples et explications simples et faciles à comprendre sur la forme pronominale.

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La forme pronominale : un verbe pronominal, qu’est-ce que c’est ?

Le verbe pronominal est précédé d’un pronom (ce pronom varie selon le sujet).

Exemples :

  • Elle se lève.
  • Elle se lave les mains.
  • Elle se promène avec sa soeur.
  • Elles se parlent.

Conjugaison du verbe pronominal « se lever »

  sujet pronom réfléchi verbe
1ère personne (singulier) je me lève
2ème personne (singulier) tu te lèves
3ème personne (singulier) il se lève
3ème personne (singulier) elle se lève
3ème personne (singulier) on se lave
1ère personne (pluriel) nous nous levons
2ème personne (pluriel) vous vous levez
3ème personne (pluriel) elles se lèvent
3ème personne (pluriel) ils se lèvent

Quels sont les verbes essentiellement pronominaux ?

Voici la liste des principaux verbes essentiellement pronominaux :

  • s’absenter
  • s’abstenir
  • s’accouder
  • s’accroupir
  • s’affairer
  • s’agenouiller
  • s’arroger
  • s’autocensurer
  • s’autodĂ©truire
  • s’autoproclamer
  • se blottir
  • se contorsionner
  • se dĂ©hancher
  • se dĂ©mener
  • se dĂ©merder
  • se dĂ©sertifier
  • se dĂ©sister
  • s’écrier
  • s’écrouler
  • s’efforcer
  • s’emparer
  • s’empiffrer
  • s’empresser
  • s’en aller
  • s’enfuir
  • s’ensuivre
  • s’entraider
  • s’entretuer
  • s’envoler
  • s’époumoner
  • s’éprendre
  • s’évader
  • s’évanouir
  • s’évertuer
  • s’exclamer
  • s’extasier
  • se fier
  • se formaliser
  • se gargariser
  • se gausser
  • se goinfrer
  • se gourer
  • s’immiscer
  • s’insurger
  • se marrer
  • se mĂ©fier
  • se mĂ©prendre
  • se morfondre
  • se mutiner
  • s’obstiner
  • se pâmer
  • se parjurer
  • se pavaner
  • se prĂ©lasser
  • se rabougrir
  • se raviser
  • se rebeller
  • se rebiffer
  • se rĂ©fugier
  • se rĂ©incarner
  • se repentir
  • se sclĂ©roser
  • se suicider
  • se tapir
  • se targuer
  • se trĂ©mousser
  • se vautrer

La proposition subordonnĂ©e circonstancielle, c’est quoi ? • Explication et exemples | Français-Rapide

👉 La proposition subordonnĂ©e circonstancielle, c’est quoi ?

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Les propositions subordonnées circonstancielles sont des propositions subordonnées qui expriment, comme leur nom l’indique, une circonstance.

Elles sont introduites par des conjonctions de subordination ou des locutions conjonctives et sont le plus souvent conjuguées à l’indicatif ou au subjonctif.

Il existe différents types de propositions subordonnées circonstancielles :

– de consĂ©quence:

Elle commence par : si…que, tellement…que, tant…que, de sorte que, si bien que, trop…pour, assez…pour…

– de but:

Elle commence par : afin que, de peur que, pour que, de crainte que, dans l’espoir que…

– de comparaison:

Elle commence par : ainsi que, de mĂŞme que, comme, aussi que, plus…que, mieux…que, moins…que…

– de temps :

Elle commence par : lorsque, comme, dès que, quand, pendant que, tandis que, jusqu’Ă  ce que, au moment oĂą, avant que, depuis que…

– de cause:

Elle commence par : comme, vu que, parce que, puisque, du moment que, Ă©tant donnĂ© que…


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La subordonnĂ©e conjonctive, c’est quoi ? • Explication et exemples | Français-Rapide

👉 La subordonnĂ©e conjonctive, c’est quoi ?

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La proposition subordonnée conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, quand, lorsque, puisque, quoique, comme, si) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…).

  • Ils feront un spectacle quand ils auront prĂ©parĂ© la salle.
  • Quand tu seras en vacances, tu te reposeras.
  • Je veux que tu travailles.
  • Nous obtiendrons les permis nĂ©cessaires parce que nous sommes en règle.

► Leçons suivantes : 

La forme emphatique, c’est quoi ? • Explication et exemples | Français-Rapide

👉 La forme emphatique, c’est quoi ?

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Leçon de français en ligne avec de nombreux exemples et explications simples et faciles à comprendre sur la forme emphatique.

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Une phrase à la forme emphatique est une phrase qui met en relief un élément, que ce soit un mot ou un groupe de mots.

Cela permet de crĂ©er un effet d’insistance sur ces mots. La forme emphatique s’oppose Ă  la forme neutre de la phrase de base.

📌 Il y a trois façons de mettre l’accent sur un Ă©lĂ©ment dans une phrase emphatique :

1. En utilisant un marqueur emphatique
2. En détachant et en reprenant un groupe de mots
3. En détachant un groupe de mots précédemment annoncé par un pronom

L’utilisation d’un marqueur emphatique

La phrase de forme emphatique peut contenir un groupe de mots mis en Ă©vidence Ă  l’aide d’un marqueur emphatique (c’est… qui, c’est… que, ce qui… c’est, ce que… c’est, ce dont… c’est, ce Ă  quoi… c’est, etc.).

  • Ce qui me passionne, c’est chanter.
  • Ce dont je veux te parler, c’est de notre projet de partir Ă  DubaĂŻ.
  • Ce Ă  quoi je pense, c’est Ă  faire une sieste.
  • C’est aujourd’hui que le facteur doit passer.
  • Ce que je veux connaĂ®tre, c’est les secrets de l’univers.

Le détachement avec reprise du groupe détaché

La phrase de forme emphatique peut ĂŞtre formulĂ©e par la reprise d’un mot ou d’un groupe de mots prĂ©sent en tĂŞte de phrase et mis en Ă©vidence par un procĂ©dĂ© de dĂ©tachement.

  • Le tennis, ça me passionne.
  • Lui, je l’attends avec impatience demain.
  • Cette montre, elle n’est pas Ă  moi.
  • Du cafĂ©, j’aime en boire souvent.

Une virgule suit le groupe de mots que l’on veut mettre en Ă©vidence.

Le détachement avec annonce du groupe détaché par un pronom

La phrase de forme emphatique peut ĂŞtre formulĂ©e avec l’aide d’un pronom placĂ© au dĂ©but de la phrase dont on connaĂ®tra le rĂ©fĂ©rent (le nom qu’il remplace) plus loin dans la phrase Ă  l’intĂ©rieur d’un groupe nominal.

  • Elle est belle, la vue.
  • Il joue avec nous, ton frère.
  • Elle tourne autour du Soleil, la Terre.
  • Je le regarde enfin ce soir, ce nouveau film.
  • Ça m’intĂ©resse, toutes ces histoires sur la guerre mondiale.

Une virgule prĂ©cède le groupe de mots que l’on veut mettre en Ă©vidence.


► Leçons suivantes : 

Les déterminants interrogatifs • Liste et exemples | Français-Rapide

👉 LES DÉTERMINANTS INTERROGATIFS

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Un mot peut être introduit par un adjectif interrogatif, comme quel, quels, quelle, quelles. Il s’agit également d’un déterminant. On l’utilise dans une phrase interrogative, qu’elle soit directe ou indirecte.

Exemples :

  • Quel train as-tu pris ? (Phrase interrogative directe).
  • Je voudrais savoir quel train tu as pris (phrase interrogative indirecte).

Les adjectifs interrogatifs s’accordent en genre et en nombre avec le nom qu’ils déterminent.

Exemples :

  • Quelles robes as-tu achetĂ©es ? (L’adjectif interrogatif « quelles », qui dĂ©termine le mot « robes », est au fĂ©minin pluriel comme ce mot).

► Leçons suivantes : 

Les déterminants numéraux | Français-Rapide

👉 Les déterminants numéraux, Exemples et explications

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Seuls les déterminants numéraux cardinaux (les nombres) sont des déterminants :

  • un, deux, trois…

Ils sont invariables pour la grande majorité et se placent devant le nom pour indiquer une quantité:

  • trois lapins
  • deux chaussures
  • trois vaches
  • quatre chaises
  • cinquante billes

Toutefois, un, vingt et cent sont variables (sauf s’ils sont suivis d’un autre dĂ©terminant numĂ©ral); un devient une au fĂ©minin:

  • trente-et-une personnes
  • quatre-vingts serviettes
  • quatre-vingt-trois serviettes
  • deux-cents personnes
  • deux-cent-huit personnes

Les dĂ©terminants numĂ©raux ordinaux servent Ă  indiquer l’ordre:

  • premier, deuxième, troisième

Ils sont variables et s’accordent comme des adjectifs:

  • les premières candidatures
  • les secondes catĂ©gories
  • les quatrièmes vagues

đź“Ś Attention, on place un trait d’union entre les dizaines et les unitĂ©s:

  • dix-sept
  • vingt-sept
  • trente-neuf
  • quatre-vingt-un
  • quatre-vingt-dix

sauf si elles sont unies par et:

Les valeurs du subjonctif • Règles et exemples | Français-Rapide

👉 Les valeurs du subjonctif

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Leçon de français en ligne avec de nombreux exemples et explications simples et faciles à comprendre.

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Dans les propositions indépendantes ou principales

On emploie le subjonctif dans une proposition indĂ©pendante ou principale pour exprimer l’ordre Ă  la troisième personne puisque l’impĂ©ratif n’est pas possible Ă  cette personne.

  • Qu’ils viennent dès maintenant. (indĂ©pendante)
  • Qu’il vienne dès qu’il peut (Qu’il vienne = principale)

(À la deuxième personne on aurait:  Viens dès maintenant / dès que tu peux.)

Dans les propositions subordonnées

Le subjonctif s’emploie le plus souvent dans les propositions subordonnĂ©es: Il exprime un fait possible que l’on considère avec un certain sentiment (doute, crainte, volontĂ©).

Son emploi dépend :

du verbe de la proposition principale pour les complĂ©tive complĂ©ments d’objet :

  • Je veux que tu viennes. (Je veux est suivi du subjonctif)

de la conjonction de subordination qui est introduit la circonstanciel :

  • Je le rĂ©pète pour que vous le sachiez. (pour que est suivi du subjonctif)

Les principales conjonction introduisant un subjonctif sont:

  •  à condition que
  •  à moins que
  •  à supposer que
  •  afin que
  •  avant que
  •  bien que
  •  de crainte que
  •  de peur que
  •  en admettant que
  •  en attendant que
  •  jusqu’Ă  ce que
  •  pour peu que
  •  pour que
  •  quoique
  •  sans que

On emploie toujours le subjonctif dans les propositions sujet introduite par que :

  • Qu’elle soit lĂ  me rĂ©jouit.

📌 À savoir

J’Ă©cris le subjonctif aie, aies, ait, ou l’indicatif ai, es, est ?

Les formes aie, aies, ait sont celles de avoir au singulier du subjonctif présent.

Pour ne pas les confondre avec celle de l’indicatif ai (du verbe avoir) ou es, est (du verbe ĂŞtre),  je remplace la forme par prendre: j’entendrai la diffĂ©rence entre le subjonctif (prenne(s)) et l’indicatif (prend(s))

Exemples :

  • Je sais qu’il __ lĂ . → Je peux dire “Je sais qu’il prend”, donc : Je sais qu’il est lĂ .)
  • Il faut qu’il __ des idĂ©es → Je peux dire « Il faut qu’il prenne« , donc : Il faut qu’il ait des idĂ©es.)

► Leçons suivantes : 

Le pronom « on » • Emplois et exemples | Français-Rapide

👉 Le pronom « on »

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Leçon de français en ligne avec de nombreux exemples et explications simples et faciles à comprendre sur le pronom « on ».

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Quand et comment utiliser le pronom « ON » en français ?

On est un pronom personnel indéfini de la troisième personne, invariable. Il désigne un sujet animé indéfini et fonctionne toujours comme sujet.

Exemple :

On a souvent besoin d’un plus petit que soi.

L’accord avec le pronom on dépend de la valeur du sujet. En effet, selon la situation, on peut signifier « tout le monde », « quelqu’un », « nous », « je », « tu », « vous »…

📌 Le verbe doit s’accorder à la troisième personne du singulier.

On = quelqu’un

Exemples :

  • On m’a volĂ© mon portefeuille.
  • On nous a cambriolĂ©s.
  • On m’embĂŞte Ă  l’école.

On = tout le monde

Exemples :

  • On parle espagnol en Espagne.
  • On mange beaucoup de fromage en France.

➜ Il est possible de remplacer « on » par « les gens » ou encore « tout le monde« .

Exemples :

  • Les gens parlent espagnol en Espagne.
  • Tout le monde parle espagnol en Espagne.
  • Les gens mangent beaucoup de fromage en France.
  • Tout le monde mange beaucoup de fromage en France.

📌 Notez que « les gens » est à la troisième personne du pluriel. « Tout le monde » et « on » sont à la troisième personne du singulier.

On = nous

Exemples :

  • On a Ă©tudiĂ© la grammaire française en classe aujourd’hui.
  • On a eu un cours de grammaire.
  • On se demande comment accorder au passĂ© composĂ©.

➜ Il est possible ici de remplacer « on » par « nous » .

  • Nous avons Ă©tudiĂ© la grammaire français en classe aujourd’hui.
  • Nous avons eu un cours de grammaire.
  • Nous nous demandons comment accorder au passĂ© composĂ©.

⚠️ Attention à l’accord aux temps composés :

  passé composé conditionnel passé
masculin pluriel On est arrivés. On serait arrivés.
féminin pluriel On est arrivées. On serait arrivées.

 

📌 Cette utilisation est orale. Préférez « nous » dans un usage professionnel.

On = je

Utilisé de manière très familière :

Exemple :

  • – Tout se passe bien ?
  • – Oui, on a bien mangĂ©. On va y aller maintenant.
  • – Tu viens ? Qu’est- ce que tu fais ?
  • – Ça va, on arrive !

On = tu / vous

Parfois interprété comme une utilisation péjorative ou irrespectueuse :

Exemple :

  • Docteur :  Alors, on a bien dormi ?
  • Patient :  Oui, mais j’ai toujours des douleurs dans le dos.
  • Docteur :  Ah ! je vois qu’on n’a pas pris ses mĂ©dicaments hier soir !

Conclusion

Les utilisations du pronom sujet ON sont nombreuses et subtiles à l’oral. Veillez à bien déterminer la situation pour en comprendre le sens.

 


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